26.4.07

Murs mûrs, II

Poursuivant ses explorations immobilières, MJ n'en finit plus de découvrir de nouveaux pochoirs sur les murs de La Ville. Il vous en propose quelques autres aujourd'hui, et demeure, cela va sans dire, très intéressé par les commentaires que cette forme d'art (dur...) — et ses réalisations — vous inspirent, curieux blogteurs et perspicaces blogtrices...






4 commentaires:

Valérie-Ann a dit...

On dirait qu'ils sont de moins bonne qualité que d'habitude... Néanmoins, j'aime bien celui de Charest. Cet homme a toujours l'air pathétique on dirait. Même sur un pochoir.

En passant, MJ, savez-vous la nouvelle? ;)

caroline.g a dit...

Charest est très beau (pour une fois)... mais c'est le Bouddha flou qui m'intrigue le plus... l'araignée, itou... ce que je voudrais le plussse savoir, c'est qui fait ça, et surtout ce qu'ils ont dans la tête à ce moment. Jouissent-ils d'une forme de plaisir solitaire ? Cherchent-ils à nous communiquer un message quelconque ? Si oui, on peut pas dire que ça donne dans la transparence... est-ce totalement gratuit, alors ?

Mentana Jones a dit...

CG, je... your guess is mine, comme on dit désormais dans le Platô, en se piquant de parler la langue de Stephen Harper plutôt que celle de Stéphane Dion. Que voulez-vous... cékomça...
J'sais pas trop, à vrai dire. Et c'est bien pourquoi je suis si à l'affût de cette production muralesque...
Ce qu'il nous faudrait, en fait, ce serait... de véritables... ethnologues dans la cité...

Mais... Nous allons très heureusement vivre, ceci dit, avec - plutôt - de... véritablement mandaliques artistes sur... la Rive Sud...

d;)

caroline.g a dit...

Héhé... l'un n'empêche pas l'autre, v'savez... quoique... m'enfin ! ;o)